mardi 30 avril 2013

Le Liseur, de Bernhard Schlink




Titre: Le Liseur
Auteur: Bernhard Schlink
Edition: Folio
Nombre de pages: 243






Quatrième de couverture:

A quinze ans, Michaël fait la connaissance d'une femme de trente-cinq ans dont il devient l'amant. Pendant six mois, il la rejoint chez elle tous les jours et lui fait la lecture à haute voix. Cette Hanna, mystérieuse, disparaît du jour au lendemain.
Sept ans plus tard, Michaël assiste au procès de cinq criminelles parmi lesquelles il reconnaît Hanna. Elle se défend mal et est condamnée à la détention à perpétuité. Mais, sans lui parler, Michaël comprend soudain l'insoupçonnable secret qui, sans innocenter cette femme, éclaire sa destinée.
Il la revoit une fois, des années plus tard. Il se met alors, pour comprendre, à écrire leur histoire, et son histoire à lui, dont il dit: " Comment pourrait-ce être un réconfort, que mon amour pour Hanna soit en quelque sorte le destin de ma génération que j'aurais moins bien su camoufler que les autres?"

Mon avis:

Parlons du Liseur. J'ai fini ce livre il y a environ une semaine et demie et j'avoue ne ps savoir quoi penser. je l'ai lu sans lire d'avis dessus, sans trop savoir à quoi m'attendre, et heureusement que je ne m'attendais pas à grand chose.
Je ne m'attendais pas à ce que cela parle de la Seconde Guerre Mondiale et ça m'a un peu déboussolé à vrai dire. L'histoire est assez étrange mais plutôt crédible.
Un jeune homme qui fait la lecture à une femme dont il tombe amoureux, puis elle disparaît et réapparaît lors d'un procès qu'il suit étant étudiant en droit. Tout ça est plutôt crédible. L'histoire est au final assez triste, mais très bien écrite et agréable à lire.
Au final, c'est vraiment le thème de la Guerre qui m'a un peu dérangé. Mais un bon livre dans l'ensemble.

lundi 29 avril 2013

Les larmes de Tarzan, de Katarina Mazetti

 





Titre: Les larmes de Tarzan
Auteur: Katarina Mazetti
Edition: Babel
Nombre de pages: 277

 





Quatrième de couverture:

Elle, c'est Mariana, mais leur rencontre fut assez fracassante pour qu'il la surnomme Tarzan. Lui, il s'appelle Janne, pour de vrai. Mère célibataire, elle élève seule deux enfants, caresse le souvenir de leur fantasque père évaporé dans la nature et tente de nourrir sa petite famille malgré des fins de mois asphyxiantes. Lui, il roule en Lamborghini, papillonne sans s'engager avec de jeunes femmes forcément cadres, élégantes et dynamiques, et déteste que des marmots salissent les sièges en cuir de sa voiture de sport.
Ces deux-là peuvent-ils s'aimer ? Et si, malgré l'abîme qui les sépare, ils s'attachent l'un à l'autre, sauront-ils vivre une relation décomplexée qui fera fi des conventions et des barrières sociales?

Mon avis:

Bon, on va commencer par les points positifs. Ce roman ce lit très vite, l'écriture est très agréable et fluide. J'ai trouvé l'histoire assez original, surtout le fait de montrer la misère de certaines mères célibataires qui font tout pour  joindre les deux bouts, et surtout le fait de suivre leur quotidien. Ça m'a vraiment beaucoup intéressé, et ne m'a pas laisser de marbre.
Le principal point négatif, c'est l'histoire d'amour. Mon Dieu que c'est cliché et vraiment trop rapide tout ça. J'avoue que je suis très difficile concernant les histoire d'amour, mais il faut un minimum de crédibilité quand même! Là franchement c'est vraiment trop gros et irréel.
Mais en globalité, j'ai plutôt bien aimé! Je le conseille tout de même, vous passerez un bon moment.

Un homme à distance, de Katherine Pancol






Titre: Un homme à distance
Auteur: Katherine Pancol
Edition: Le Livre de Poche
Nombre de pages: 153







Quatrième de couverture:

Ceci est l'histoire de Kay Bartholdi, un roman par lettre comme au XVIIIème siècle. Un inconnu écrit à Kay, libraire à Fécamp, pour lui commander des livres. Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi. Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux.
Ils se font des scènes, des confidences, s'engagent peu à peu dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d'une déchirure ancienne, s'efforce de repousser.
Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes... semble dire ce roman de Katherine Pancol.

Mon avis:

Je viens tout juste de finir ce livre et je voulais absolument écrire ma chronique en était encore "à chaud".
Ce roman est court, se lit très vite (deux petits jours pour ma part), l'écriture est fluide, sans accrocs. L'histoire m'a beaucoup touché, même si la relation amoureuse s'installe trop rapidement à mon goût, mais je suis trop romantique pour que ça me dérange vraiment.
J'aime les histoires d'amour, et encore plus les histoires d'amour de façon épistolaire. Je trouve ça juste trop craquant. On découvre les personnages en même temps que le destinataire de la lettre. J'aime lire des lettre, car tous les détails sont importants et les mots ont dans ces cas-là une importance cruciales.

mardi 23 avril 2013

Les visages, de Jesse Kellerman










Titre: Les visages
Auteur: Jesse Kellerman
Edition: Point
Nombre de pages: 474 pages








Quatrième de couverture:

La plus grande œuvre d'art jamais créée dort dans les cartons d'un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d'exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé d'innocents portraits d'enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages: ceux d'enfants victimes de meurtres irrésolus...

Mon avis:

 Je n'ai pas l'habitude de lire des thriller, mais là j'ai vraiment beaucoup aimé. J'ai mis un peu de temps à le lire, car je n'avais pas vraiment le temps, mais j'ai peu apprécier le roman.
L'histoire est très originale, l'écriture fluide, les personnages attachants.

C'est l'histoire d'une œuvre d'art, de crimes non résolues, et d'une histoire de famille. C'est vraiment les ingrédients indispensables pour un bon roman.

J'ai failli te dire Oui, de Federico Moccia

Titre: J'ai failli te dire Oui
Auteur: Federico Moccia
Edition: Le livre de Poche
Année: 2009
Nombre de pages: 666

Quatrième de couverture:

Plus épris que jamais, Alex et Niki, les héros de J'ai failli te dire je t'aime, sont de retour du phare de l'île Bleue. Tandis qu'elle renoue avec ses copines, il réintègre la routine de Rome: travail, sport et sorties avec ses amis. Or voilà que ces derniers, jusqu'à présent si heureux en ménage, voient leur couple voler en éclats. Mais, en incurable romantique, Alex décide d'y croire et demande Niki en mariage. Hélas, le chemin vers l'autel se transforme vite en chemin de croix. Familles, invités, préparatifs en tout genre ne facilitent pas la tâche de nos amoureux. Mais, surtout, Niki est-elle prête pour un tel engagement? Doute, tentation, liberté, engagement...
Federico Moccia nous parle de l'amour, mais plus encore des craintes et des incertitudes qu'il engendre...

Mon avis:

Le premier tome a vraiment été un coup de coeur pour moi, car je m'était réellement attaché aux personnages et j'avais trouvé leur histoire vraiment magnifique, sachant que les deux tourtereaux ont 20 ans d'écart.
Pour ce tome, je reste assez partagée. Bien sûr, j'aime les histoire d'amour et surtout celles qui sont atypique, mais là c'était vraiment trop cul-cul!!
Déjà il faut attendre plus de 200 pages pour la demande en mariage tant attendu, et comme par hasard, lors qu’Alex se décide enfin à la demander, tous ces amis se séparent, des tentations des deux côté viennent pour les faire changer d'avis.
Et le pire, c'est que tout au long du livres, une quantité non négligeable de citations en tout genre fleurissent dans le livre. Et c'est vraiment HORRIBLE!!

Mais je ne veux pas vous dire de ne pas le lire, car c'est quand même une belle histoire d'amour, l'écriture et simple et on passe tout de même un très bon moment!!